Voici venu notre 3ème et dernier jour dans la capitale catalane.

La matinée est consacrée à la visite de la Sagrada Familia. Une fois n’est pas coutume, nous avons « planifié » notre visite, en achetant à l’avance des billets sur Internet, ce qui permet de doubler l’énooorme file d’attente qui s’étire derrière les guichets malgré l’heure matinale.

Cette immense basilique, œuvre de Gaudi, est probablement l’un des plus célèbres emblèmes de la ville. Elle est en construction depuis 1882, autant dire que le chantier n’avance guère plus vite qu’à l’époque des grands édifices du Moyen-Age ! Ceci dit, face à ce projet gigantesque, on comprend mieux pourquoi les travaux sont si long. C’est vraiment un énorme bâtiment, rempli de détails, aussi bien à l’intérieur qu’à l’extérieur. De plus, une fois achevée, l’église ne devrait comporter pas moins de 18 tours !
L’extérieur a un aspect très moderne. Les volumes sont impressionnants mais les détails ne m’emballent guère personnellement… C’est trop moderne et/ou trop chargé à mon goût de néophyte de l’architecture.

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L’intérieur est vraiment magnifique. Là encore les volumes sont impressionnants, mais en plus les décors sont très colorés, tout en gardant des lignes et un certain côté classique. C’est un mélange d’ancien et de moderne très réussi. Tout l’intérieur est très lumineux. On passera un long moment à se promener dans la nef, vraiment enchanté par ce décor.

On en profite également pour monter dans la Tour de la Passion, d’où l’on admire une belle vue à 360° sur la ville, et sur les autres tours de la basilique.

Enfin, on termine la visite de la Sagrada Familia en passant par un musée, où les différentes étapes et enjeux de la construction sont très bien expliqués. On peut admirer le travail réalisé au fil de ans, et l’avancée considérable depuis les années 1990. La fin des travaux est prévue pour 2026, il nous faudra donc revenir pour admirer l’œuvre pleinement achevée !

On continue cette matinée dédiée à Gaudi par la visite de plusieurs maisons imaginées par le célèbre architecte, et situées dans des quartiers voisins. Tout d’abord la Casa Mila, aussi nommée Perdrera, puis la Casa Battlo aux belles couleurs. On en profite pour flâner un moment dans ce quartier chic et déguster nos dernier plat de tapas, en se remémorant déjà les bons souvenirs de ces derniers jours.

On termine la journée en visitant le quartier de Pedralbes, avec un calme parc et un très joli monastère.

Ainsi s’achèvent nos trois jours à Barcelone. Nous en rentrons en France la tête pleine de bons souvenirs, très heureux d’avoir visité cette ville à la hauteur de sa réputation, et bien contents d’avoir goûté encore à l’été en plein mois de novembre !

Toutes les photos sont dans l’album photos de Barcelone.

Pour notre deuxième jour à Barcelone, on se la joue cool, avec un programme moins chargé que celui de la veille. On passe la matinée à flâner entre centre-ville, dans les quartiers autour de la Rambla. On découvre un dédale des petites rues. Malheureusement, nous sommes dimanche, et la plupart des commerces sont fermés, tant pis pour le lèche-vitrine !

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En fin de matinée, on visite la Cathédrale Basilique Métropolitaine de la Sainte-Croix et de Sainte Eulalie (pfiou quel nom !). On passe ensuite un moment dans le Mercat del Born, qui constitue un mélange architecturale amusant.

A midi, on déjeune en terrasse sur la Plaça Reial, c’est toujours agréable de profiter encore un peu de l’été en novembre ! Au menu du jour : paëlla avec une sauce à l’encre de sèche, parfait pour avoir la bouche bien noire ;) La place est vivante, et très jolies avec toutes ses arcades.

L’après-midi était censée être consacrée à la visite du musée Picasso, mais l’interminable file d’attente a raison de notre patience. Heureusement que nous avons déjà réservé nos billets pour la Sagrada Familia demain pour éviter ce désagrément une nouvelle fois ! On passe finalement l’après-midi dans le quartier du Parc de la Ciutadella.

En fin d’après-midi, on passe se reposer un moment à l’hôtel, puis on repart dans le dédale de ruelles du Le Barri Gòtic. Après avoir traîné dans plusieurs bars à tapas, on passe la soirée dans un sympathique bar à écouter des petits concerts. Voilà une vraie soirée barcelonaise !

Toutes les photos sont dans l’album photos de Barcelone.

Pour ce long week-end prolongé de novembre, nous avons décidé de partir profiter encore un peu de l’été. Direction l’Espagne, et la ville de Barcelone. On ne présente plus la capitale de la Catalogne, célèbre pour sa culture, son climat et ses nuits de fête… Les prochains jours vont nous permettre de vérifier tout cela.

Départ vendredi soir après le travail, après un court vol en avion, nous voici déjà au bord de la mer. A peine arrivés, on se promène déjà dans le Barri Gòtic. Il fait bon manger quelques tapas en terrasse le soir, cela nous change de la neige de la semaine dernière dans les Ecrins !

Le lendemain matin, direction le parc Güell. Situé sur les hauteurs de la ville, c’est l’un des chefs d’œuvres les plus connus de Gaudi. La nature et l’architecture se côtoient harmonieusement.

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On passe bien sûr un long moment sur l’esplanade aux célèbres mosaïques de céramiques colorées, tout en profitant d’un beau panorama sur la ville et sur les deux bâtiments entourant l’entrée du parc. C’est vraiment un très beau lieu, la météo est idéale, on profite largement de ce week-end détente !

Après avoir bien profité du parc, on se dirige vers une autre colline : Montjuïc. Comme on fait les fainéants, on emprunte même le téléphérique pour aller au sommet ! Depuis le château de Montjuïc, on admire une belle vue sur la ville et la mer.

En fin d’après-midi, on se balade un moment dans les jardins de la colline et près de l’ancien stade olympique des JO de 1992, plutôt désert. On arrive enfin à la visite du Musée national d’art de Catalogne. Art roman, gothique, renaissance jusqu’à Picasso, tous les styles y passent.
On ressort du musée à la tombée de la nuit, bien contents de cette première journée !

On ne traînera pas tard dans la ville ce soir, un peu fatigués par cette journée bien chargée. Heureusement, la journée de demain sera plus cool.

Toutes les photos sont dans l’album photos de Barcelone.

Date	1er et 2 novembre 2013
Dénivelé positif	1040 mètres
Altitude maxi	2607 mètres
Durée aller-retour	1er jour : 7h 2ème jour : 2h
Météo	1er jour : nuages 2ème jour : neige
Carte IGN	3437 OT Champsaur - Vieux Chaillol - PN des Ecrins 3437 ET Orcières-Merlette - Sirac - Mourre Froid
Accès	Depuis la Chapelle en Valgaudemar, continuer jusqu'au bout de la vallée et se garer au premier parking après des lacets, avant le chalet du Gioberney.

L’automne est encore là pour quelques jours. Nous profitons de ce week-end prolongé pour découvrir une nouvelle vallée, le Valgaudemar, dans le massif des Ecrins. La vallée est réputée belle et sauvage, ce qui a tout pour nous attirer !
Nous partons directement après le travail, et après une longue route de nuit, nous dormons dans le fourgon à la Chapelle en Valgaudemar.
Au réveil, une jolie vue sur les montagnes aux couleurs très automnales s’offre à nous. Mais pas de neige en vue ! Tant mieux, les raquettes resteront donc dans la voiture.

On laisse le véhicule près du refuge du Gioberney, puis on emprunte un long vallon assez plat. On a la montagne pour nous tous seuls, c’est royal malgré le ciel gris. Cette époque de l’année en montagne, juste avant les premières neiges, est vraiment l’une de mes préférées. On peut savourer encore un peu la montagne estivale, tout en profitant du silence et d’un calme impressionnant.

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Une courte montée nous mène au petit refuge de Chabournéou. On s’y abrite le temps d’un casse-croûte. On repart ensuite par un joli sentier en balcon, au pied des glaciers du Sirac. L’ambiance est très haute-montagne, et on voit plusieurs chamois d’assez près.

On débouche ensuite dans le vallon de Vallonpierre. On arrive sur un très beau plateau, à l’herbe jaunie. Ça donne fortement envie d’y faire un joli bivouac ! On rejoint le refuge, au pied d’un petit lac. Le coin est vraiment superbe malgré la météo couverte. Le bâtiment est récent, et l’extérieur fait de bois et de pierre est plutôt joli et bien intégré au paysage. A cette saison, le refuge n’est pas gardé, mais il reste ouvert avec tout le confort nécessaire : matelas et couvertures, une grande cuisine avec même du gaz et des bidons pour stocker l’eau, et surtout l’indispensable poêle avec quelques bûches. Malheureusement, les arbres sont rares dans le coin pour trouver de nouvelles bûches à brûler…

On laisse les sacs au refuge, et on continue de grimper jusqu’au col de Vallonpierre. La dernière partie dans un mélange de boue et des schistes est glissante, mais on rejoint quand même rapidement le col en 40 minutes. Les nuages bouchent malheureusement la vue de l’autre côté.

On redescend rapidement au refuge, alors que le ciel se découvre enfin un peu, laissant apercevoir les jolis sommets alentours.

On passe la fin de l’après-midi à lire. Vu le calme, on pensait être seuls au refuge, mais finalement 6 personnes nous rejoindrons pour dîner. Malgré le poêle, la température intérieure est plutôt fraîche, et on rejoint rapidement nos duvets.
Le lendemain matin, surprise ! Une fine couche de neige a blanchit le paysage. L’hiver est arrivé…

Etant donné la météo, on écourte donc le week-end, et on redescend directement à la voiture. On trouve vite la limite pluie/neige, puis la pluie tout court…
Malgré tout, on aura bien profité de ce court créneau météo, et on est ravis d’avoir découvert cette superbe vallée. La saison estivale semble bien terminée, nous sommes à présent prêts à accueillir l’hiver.

Toutes les photos dans l’album photos du col de Vallonpierre.

Depuis longtemps nous rêvions secrètement de pouvoir dormir dans la voiture. Liberté absolue de se poser où on veut, quand on veut, au gré de nos escapades.
Le cahier des charges est simple : nous voulons un modèle pas trop gros afin de pouvoir rouler facilement sur les routes de montagne, pas trop haut afin de rentrer dans tous les parkings, et surtout discret afin de pouvoir dormir n’importe où.
A l’automne 2012, après plusieurs mois de réflexion et de recherches, nous voilà enfin propriétaires d’un petit fourgon ! Le modèle : Fiat Scudo (modèle équivalent à un Jumpy ou Expert), 4 ans, 100 000 km au compteur. C’est un L2H1, c’est à dire légèrement plus long que le modèle de base. Ce n’était pas dans notre cahier des charges, mais finalement les quelques centimètres en plus nous rendrons bien des services.

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Première bonne surprise, il rentre dans le garage au centimètre près. On trouve vite un surnom à notre bébé : ce sera Scubido.

A présent, à nous de l’aménager ! Le site Trafic Aménagé est pour cela une mine d’informations. Je dois avouer que Monsieur a fait une grosse part du travail ;-)
Le fourgon est en excellent état à l’extérieur. On ne peut en dire autant de l’intérieur malheureusement… Les anciens propriétaires étaient une entreprise de nettoyage, on peut parier que quelques litres de produits corrosifs ont suinté par terre…

On commence par démonter la séparation entre la cabine et l’arrière, puis on prend notre courage à deux mains, et on frotte longtemps… très longtemps, à la brosse métallique. Une fois la couche de rouille enlevée, l’intérieur est déjà plus présentable.

On applique ensuite deux couches de peinture blanche anti-rouille. Voilà donc un joli intérieur, presque comme neuf. Mine de rien cette première étape nous a déjà occupé 2 semaines.

Ensuite c’est l’heure de la douloureuse : un voyage chez le Roy Merlin l’enchanteur, et nous voilà délesté de quelques centaines d’euros en échange de pas mal de planches et autre matériel de bricolage. On en profite au passage pour tirer quelques gaines électriques : une au milieu près du conducteur, et l’autre à l’arrière. Pour l’instant cela ne nous servira pas, mais sait-on jamais…

Bon, c’est bien mignon d’avoir fait de la jolie peinture blanche, mais il va falloir recouvrir tout ça. Prochaine étape : mission isolation et coffrage. C’est THE gros morceau, la bête noire. Même si on ne compte pas chauffer le camion, il faut quand même isoler au mieux afin d’éviter les courants d’air et la condensation.
Tout d’abord, on colle des tasseaux à la colle polymère Bostik directement sur la carrosserie.

Pendant que la colle sèche, on prépare l’isolant multicouche et les planches de contreplaqué qui viendront par-dessus. L’isolant sera agrafé sur les tasseaux, et les planches vissées sur les tasseaux à travers l’isolant. Premier piège à éviter : ne pas oublier de découper et percer les planches AVANT d’avoir mis l’isolant, sinon il est ensuite impossible ou presque de retrouver les tasseaux pour y fixer les planches… Ce genre de fourgon petit modèle est un vrai casse-tête pour la découpe : aucun angle droit, aucune ligne parallèle, la découpe des planches prend donc de nombreuses heures… Il nous faudra un week-end de travail pour le sol, et autant pour chaque côté, chaque porte, le plafond etc… Bref, deux mois d’efforts ! Heureusement, on aime bien bricoler dehors les week-ends par -5°C sous la neige…

Petite astuce : laisser l’isolant dépasser des planches pour bien faire la liaison entre le sol et les murs, afin de limiter les ponts thermiques.
Encore des tasseaux sur un mur…

… et des tasseaux sur l’autre mur, on ne s’en lasse pas…

C’est ainsi équipé que l’on part pour quelques jours en montagne à l’automne. Le fourgon franchit le col du Lautaret à bonne allure, on est contents ! Le plafond, la porte latérale et les portes arrières ne sont pas encore isolées. Premier constat : le matelas et la couette c’est confortable, mais la tôle condense énormément ! Au matin, on est complètement trempés par l’eau qui dégouline du plafond. Le lendemain matin, la condensation ne coule pas, et pour cause il a gelé pendant la nuit… Mais à peine le réchaud allumé (quelle erreur !), tout dégèle d’un coup, et c’est la douche glacée…

C’est donc décidé, il va falloir réfléchir sérieusement à l’aération avant de continuer les travaux. On perce deux ouvertures pour mettre des grilles : une à l’arrière en haut, une sur le côté relativement en bas de la carrosserie. De cette manière, on est sûrs que l’air circule au mieux dans le fourgon. Percer la carrosserie de la voiture est une tâche un peu angoissante, pas le droit à l’erreur ! Pour la porte latérale qui est assez épaisse, on décide de bricoler une petite conduite d’air, afin d’éviter que l’air froid ne rentre dans l’épaisseur de l’isolant. Bien galère à mettre, heureusement qu’on avait 4 mains…

Pour la porte arrière c’est moins compliqué même si les découpes sont là aussi fort nombreuses.

Il ne reste plus que le plafond. Rebelote : tasseaux, isolant, coffrage.

Après la pose d’un sol plastique (moche mais on s’en fout) afin d’éviter de tout pourrir, deux couches de vernis pour protéger les planches, et voilà le gros œuvre enfin fini pour Noël !

On bricole ensuite un sommier « peigne » permettant d’utiliser un matelas de clic-clac en mode canapé ou en mode lit.

On part ainsi en Toscane à Noël, et on peut constater que l’isolation et le coffrage sont bien plus efficaces que lors de notre dernière virée ! Certes, sans chauffage, il fait vite froid, mais on est bien protégés du vent, et l’intérieur reste bien sec.
On fait une petite pause durant l’hiver, car bricoler dans le froid, c’est quand même difficile ! Au printemps, on reprend nos efforts pour l’aménagement intérieur. C’est plus fun, et ça va beaucoup plus vite que l’isolation.

Notre souhait : quelque chose de simple, rapide à monter et à démonter pour manger et dormir dans le fourgon. On désire également disposer d’un volume suffisant de rangement pour pouvoir partir pendant plusieurs semaines avec tout le matos de rando, escalade, alpinisme, photographie, voyage…
Au menu de cet aménagement : monter le sommier sur pieds et faire un grand placard sur le côté qui nous servira également de table à manger. Sur le côté du meuble, on installe un petit porte-manteau, indispensable pour pendre les vestes de rando mouillées… Pour les soirs de camping, on dispose d’une petite table et de deux chaises pliantes pour dîner dehors si la météo le permet. Sous le lit, on installe 4 grandes caisses pour ranger toutes les affaires : vêtements, matériel de montagne et de photo etc. Sur les portes arrière, on fixe des pochettes pour avoir du bazar à portée de main, surtout pratique pour la nuit. Au fond, une tringle et un rideau sont placés afin d’isoler les deux parties du fourgon, tout en gardant quand même un accès facile à l’avant si on veut placer quelques affaires sur les sièges.

Le haut du placard nous sert de cuisine et de garde-manger. On a vraiment la place pour mettre de la nourriture en quantité suffisante pour plusieurs jours d’autonomie. Au passage, il faut réfléchir à une fermeture qui supporte d’être secouée dans les virages sans s’ouvrir ! Après avoir fait la désagréable expérience de renverser la cafetière (sale et pleine de marc de café évidemment) sur le lit en pleine conduite, on a écumé les rayons de magasins de bricolage pour trouver un système costaud…

Le bas du placard est séparé en deux parties : un rayonnage pour mettre encore un peu de bazar et qui fait office de table de nuit, et la partie basse où l’on range nos chaussures de randonnée boueuses ! Du tissu antidérapant permet de bien maintenir tous les objets sur le rayon, même lors de la conduite.

Il nous reste même un peu de place pour installer un petit évier, le luxe ! Ce n’était pas prévu, mais finalement c’est bien pratique pour pouvoir faire un brin de vaisselle. L’évier est une simple gamelle de chien, percée. Deux bidons servent l’un de réserve d’eau propre, l’autre pour stocker l’eau usagée. Un système de pompe à pied alimente un petit tuyau, pratique pour avoir les deux mains libres tout en faisant couler l’eau comme à la maison ! On cache les bidons par un petit torchon placé devant. Le robinet a été mis sur le côté extérieur de l’évier, et peut facilement pivoter, afin de remplir des grosses gourdes ou casseroles qui ne passeraient pas dans l’évier.

Enfin, du côté avant, il nous reste de la place pour mettre encore une glacière (pouvant se brancher sur l’allume-cigare, bien pratique !), et une grande caisse pour le matériel qui ne rentrerait pas sous le lit (sacs à dos de montagne notamment). C’est la version L2 du Scudo qui nous permet de grappiller ces quelques centimètres pour pouvoir mettre la glacière, et il faut avouer que là encore c’est bien pratique pour gagner en autonomie et en confort. Au passage, des tendeurs au plafond et quelques pinces à linge sont les bienvenus pour faire sécher la lessive des vacances. On investit aussi dans un petit extincteur au cas où…

Et voilà notre fourgon terminé ! A l’usage, on est vraiment ravis, il n’y a rien à changer !
Seuls projets pour l’an prochain : bricoler un petit auvent pour pouvoir garder la porte ouverte même quand il pleut, et finir de décoller les moches autocollants de l’ancien propriétaire. Et si le budget le permet, dans un monde parfait, changer la banquette conducteur et passager par de « vrais » fauteuils plus confortables pour les longs trajets !

Pour finir, quelques souvenirs de nos virées en avec Scubido cette année : dans les Cerces et les Ecrins à l’automne, une belle boucle en Toscane à Noël, un « Scubivouac » frisquet sur un parking de Bourg d’Oisans en plein hiver, une très jolie virée en Bretagne et Normandie au printemps, quelques week-ends d’escalade, des dodos tardifs les soirs de mariage en juillet, puis enfin nos superbes 3 semaines de vacances dans les Alpes entre Savoie et Dolomites !