par *V* ~ Samedi 23 juillet 2016
Date |
23 juillet 2016 |
Dénivelé positif |
600 mètres |
Altitude maxi |
2500 mètres |
Durée |
4h30 |
Météo |
Nuageux et pluie |
Carte IGN |
3537 ET Guillestre Vars Risoul - PNR du Queyras |
Accès |
Depuis Château Queyras, monter à Villargaudin, puis emprunter une piste forestière jusqu'au Queyron |
La météo est maussade ce matin. On ne se presse pas trop car nous n’avons prévu qu’une petite randonnée étant donné la couleur du ciel. Après avoir suivi les gorges du Guil, on arrive au pied de la route des Escoyères. Pas de chances, la route et ses 31 lacets sont fermés ! On reprend donc la route et on se rabat sur le parking du Queyron.

Nous suivons un beau chemin en balcon, qui monte et descend pendant assez longtemps. On contourne la Crètes de Croseras et ses éboulis, avant d’obliquer dans la montée du vallon de Furfande.


L’univers devient très vert, et on arrive à un beau refuge. On sort le pique-nique du sac, et on profite du refuge pour s’offrir un dessert (tarte aux myrtilles).
On repart une bonne heure plus tard en direction du col de Furfande. La pluie arrive, on s’arrête quelques mètres avant le col pour mettre les vestes. Une fois au col, on ne traîne pas pour admirer la vue, de toute manière bouchée. On accélère le pas à cause de la météo de plus en plus mauvaise. On fait quand même une boucle par les granges de Furfande, au milieu de très beaux alpages.

On retourne sans encombres à la voiture par le chemin d’où nous sommes venus alors que la pluie cesse.


Quelques photos supplémentaires sont dans l’album photos du col Furfande.
Classé dans : Montagne, Randos diverses :: 0 commentaire
par *V* ~ Jeudi 21 juillet 2016
Après notre via ferrata matinale, nous montons au-dessus de Brunissard en direction des alpages de Pra Premier. On connaît déjà le coin pour y être passé lors de notre GR5.
Nous pique-niquons à proximité, puis rejoignons en 10 minutes de marche le secteur de couennes du Clapeyto, au-dessus d’un joli pied. On trouve une belle dalle calcaire d’une vingtaine de mètres de haut. Nous enchaînons quelques voies du 4 au 5c.


Nous rentrons au camping pas trop tard, et partageons la fin de l’après-midi entre sieste et lecture.
Classé dans : Alpinisme & Escalade, Montagne :: 0 commentaire
par *V* ~ Jeudi 21 juillet 2016
Date |
21 juillet 2016 |
Cotation |
PD- |
Altitude maxi |
1400 mètres |
Dénivelé |
50 mètres |
Longueur |
800 mètres |
Durée approche |
2 minutes |
Durée via ferrata |
1h |
Durée retour |
5 minutes |
Météo |
Soleil |
Accès |
A Château-Ville-Vieille (Château Queyras), rejoindre le pont du Paquet. Parking au niveau du pont, la via démarre sur l'autre rive. |
Après la
belle randonnée d’hier, on reprend nos activités plus ou moins encordées.
Nous nous rendons à Château Queyras pour une via ferrata au coeur des belles gorges du Guil, face au magnifique fort.

Après une courte descente pour démarrer, la via suit tranquillement les gorges. Le parcours a été changé récemment, on ne passe malheureusement plus au pied du Fort. Malgré tout l’ambiance au pied de la rivière est fraîche et sympa. Le parcours est peu physique, on enchaîne essentiellement des traversées en rive gauche, avec quelques passerelles et pont népalais pour varier le parcours. Malgré l’heure assez matinale, nous sommes déjà nombreux à parcourir cette via ferrata. Il faut dire que l’approche rapide, le parcours facile, et le décor sont alléchants.




Une heure plus tard, on en termine déjà. Pas rassasiés de sport, on enchaînera avec une après-midi d’escalade non loin d’ici.
Classé dans : Montagne, Via ferrata :: 0 commentaire
par *V* ~ Mercredi 20 juillet 2016
Date |
20 juillet 2016 |
Dénivelé positif |
1100 mètres |
Altitude maxi |
2626 mètres |
Durée |
5h40 |
Météo |
Soleil côté français, brouillard côté italien |
Carte IGN |
3637 OT Mont Viso - St Véran - Aiguilles - PNR Du Queyras |
Accès |
Château Queyras, Aiguilles, Abriès, Valpréveyre |
La journée s’annonce déjà chaude. Après avoir fait la route jusqu’à Valpréveyre, on se met en marche vers 9h30.
On commence par un échauffement sur un faux plat pendant une quinzaine de minutes, puis on traverse une rivière et on attaque le vie de la montée. On traverse une petite zone ombragée, puis un vaste alpage montant régulièrement. Le paysage est surveillé par le beau Bric Bouchet.

Une dernière pente plus raide nous permet d’accéder au col Bouchet. On a la forme après les courses d’alpinisme de ces derniers jours, le dénivelé est vite avalé, on atteint le col en 1h45 depuis le parking. Nous commençons l’ascension du Bric Bouchet, mais nous rebroussons rapidement chemin, peu à l’aise dans ce terrain rocheux. Pourtant nous avons déjà grimpé des voies plus dures, mais le mental est un peu entamé après les grosses journées de la semaine dernière. Nous faisons notre pause pique-nique en face du très joli refuge Nino Sardi, face au Viso qui émerge de la nebbia, et surveillés par des bouquetins.




Nous consultons la carte pour changer nos plans et éviter l’aller-retour. Nous décidons de basculer côté italien et de rentrer via le col Malaure. Nous descendons 200 mètres puis suivons un sentier en balcon à travers plusieurs combes très fleuries.

Une remontée bien raide et schisteuse nous essoufle, d’autant plus avec l’ambiance hammam de la nebbia, ce brouillard caractéristique de la région qui remonte depuis la plaine du Pô. On atteint rapidement le col Malaure et son versant français, moins austère.

Il ne reste plus qu’à descendre tranquillement à travers les alpages. Finalement, c’était le premier jour sans corde depuis le début des vacances (11 jours !), mais une « simple » rando c’est parfois tout aussi sympa !

De retour tôt au camping, on en profite pour passer une après-midi tranquille, entre sieste et lecture.
Classé dans : Montagne, Randos diverses :: 0 commentaire
par *V* ~ Mardi 19 juillet 2016
Comme souvent les lendemains d’alpinisme, le réveil est un peu dur. Il est déjà 9h lorsque l’on émerge d’une longue nuit réparatrice.
La motivation n’est pas trop là, on annule donc notre grimpe à Ailefroide, et on se met en route vers 10h direction le sud-est du département des Hautes-Alpes. Un petite pause à Vallouise nous permet de faire quelques courses. On choisit la route du col de l’Izoard pour rejoindre le Queyras. Finalement, l’envie de se dégourdir les jambes et les bras revient. On s’arrête donc en cours de route pour une petite session d’escalade à Cervières. Le secteur est joli mais les cotations ne semblent pas donnés, à moins que ce soit la fatigue qui parle. On reste donc sagement dans des niveaux faciles.



On déjeune dans une belle prairie peu avant le col de l’Izoard. On rejoint ensuite un paysage plus minéral, puis on bascule sur la vallée du Guil pour rejoindre Aiguille et son camping, où nous avons décidé d’installer notre camp de base pour la dernière semaine des vacances.
Classé dans : Alpinisme & Escalade, Montagne :: 0 commentaire