par *V* ~ Dimanche 10 janvier 2021
Date |
10 janvier 2021 |
Dénivelé positif |
700 mètres |
Altitude au sommet |
1543 mètres |
Durée aller-retour |
4h30 |
Météo |
Nuages bas et brouillard |
Carte IGN |
3432 OT Massif des Bauges |
Accès |
Depuis Albertville ou Chambéry, rejoindre Saint Pierre d'Albigny. Monter au col du Frêne puis redescendre de l'autre côté à Routhennes. Parking dans le village. |
Après les vacances de Noël dans le sud, il est temps de retrouver la neige savoyarde. Nous cherchons une idée de rando « hybride » : l’un sera à ski de rando, l’autre en raquettes.
Au départ du village de Routhennes, on commence par remonter un chemin, puis on coupe un peu raide dans une clairière où les raquettes sont finalement plus commodes que les skis. On serpente ensuite dans la forêt, entre chemin et petits raccourcis en prairies. On croise une cascade de glace qui sort de nul part et pousse « à l’envers ». Sans doute l’oeuvre d’un tuyau d’eau ?

Le plafond nuageux est bien bas, et lâche même quelques flocons.

On rejoint enfin un sentier plus large puis une crête assez ronde, qui doit être un délice à skier lorsque la visibilité est meilleure qu’aujourd’hui.

Nous étions au calme jusqu’à présent, mais les randonneurs sont nombreux à rejoindre le sommet par tous les versants, et surtout depuis la station des Aillons. On rejoint le sommet dans le brouillard, mais la brume se dissipe quelques minutes après notre arrivée.

On s’aperçoit alors que nous sommes sur la mauvaise bosse ! On visait le Mont Morbier, mais nous sommes au Mont Pelat, son voisin, distant de quelques mètres et plus haut d’1 mètre de dénivelé.

La brume finit de se dissiper et on pique-nique au-dessus d’une magnifique mer de nuages ! Ce sera notre seul instant au soleil de la journée, mais on en profite bien car la vue est belle.

Il est ensuite de redescendre dans la brume. Pour la descente, on suivra le sentier principal, moins intéressant mais plus facile ;)

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par *V* ~ Jeudi 31 décembre 2020
Pour ce dernier jour de l’année 2020, nous optons pour une petite balade à vélo. Au départ de Roquesteron, notre camp de base des vacances, nous montons au joli village de Sigale.

On continue ensuite par les petites routes en balcon au-dessus de l’Esteron en direction d’Aiglun. On traverse encore de jolies gorges, sculptées dans la montagne.

Malheureusement la suite de la route est à l’ombre en cette saison, et il fait vraiment très froid, la neige n’a pas fondu de la semaine. On fait donc demi-tour peu avant le village de Vascogne et on revient par la même route.

A Sigale, on monte en haut du clocher pour admirer la vue. C’est vraiment une jolie région. Quelques habitants fêtent la nouvelle année avec quelques heures d’avance et nous offrent gentiment un verre de champagne. Heureusement qu’on a fait qu’une vingtaine de kilomètres.


Pour le réveillon, pas de resto pour terminer cette année 2020 particulière, mais une soirée jeux sympas en amoureux.
Pour le 1er janvier, la pluie s’invite et on passera donc la journée au musée océanographique de Monaco, suivi d’un restaurant (le premier depuis longtemps… et le dernier avant encore plus longtemps !).
Ainsi se terminent nos vacances dans les Alpes Maritimes. C’est une jolie région, que l’on n’a pas pu découvrir à fond en raison de la neige et des fraîches températures. En revanche, le coin doit bien se prêter à un séjour au printemps ou à l’automne, d’autant plus que certaines falaises d’escalade ont l’air alléchantes. Il faudra donc revenir pour les tester !
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par *V* ~ Mercredi 30 décembre 2020
Après la grosse balade d’hier, nous partons pour une journée plus cool dans l’arrière pays méditerranéen.
On commence par les belles gorges du Daluis, au fond desquelles coule le Var, qui n’est encore qu’un gros torrent de montagne à ce niveau. Les gorges sont magnifiques avec leurs rochers rouges. La neige ajoute la petite touche montagnarde et originale au milieu d’une végétation sèche.
Nous laissons la voiture au pont de Berthéon et partons pour 1h30 de balade jusqu’au point sublime. On commence évidement par une montée



Puis la pente s’adoucit et le sentier est en balcon au-dessus des gorges.


On termine par une petite crête pour rejoindre le point sublime, à l’aplomb au-dessus des gorges profondes. Les falaises sont vertigineuses. En face de nous, on devine l’entrée de plusieurs mines, suspendues sur la falaises. Les rochers rouges contrastent avec la neige blanche qui saupoudre les faces à l’ombre. Quel endroit incroyable !


Une fois redescendu à la voiture, on reprend la route pour rejoindre la station de Valberg. Les remontées mécaniques sont fermées en raison du Covid, mais les touristes sont là et semblent bien s’amuser quand même. A 1500 m d’altitude, l’ambiance devient franchement plus montagnarde. Je suis toujours impressionnée par cette région où mer et montagnes cohabitent. Au loin, on aperçoit le Mont Mounier, souvenir de notre GR5 il y a déjà 8 ans.

Enfin, on rentre en empruntant les gorges du Cians, un peu plus sombres que leurs voisines du Daluis mais tout aussi profondes.
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par *V* ~ Mardi 29 décembre 2020
Date |
29 décembre 2020 |
Dénivelé positif |
700 mètres |
Altitude maxi |
813 mètres |
Durée aller-retour |
6h30 |
Météo |
Soleil |
Carte IGN |
3642 ET Vallée de l'Estéron - vallée du Loup ou 3643 ET Cannes Grasse Côte d'Azur |
Accès |
Depuis Saint Laurent du Var, rejoindre le village de St Jeannet. Nombreux parkings en haut du village. |
Pour changer de la neige alpine, nous passons les vacances de Noël dans le sud. Pas de chance, des quantités historiques de neige sont tombées dans l’arrière pays niçois. Les oliviers sous la neige font une belle carte postale, mais les sentiers sont glissants. On prolonge donc un peu la route jusqu’à trouver les rives sèches de la Méditerranée.
Au départ du village de Saint Jeannet, on commence par remonter une route tranquille, puis un sentier bien raide avec des grandes marches qui font chauffer les cuisses. On prend vite de l’altitude et la pente s’adoucit.

On tourne autour du sommet, puis par une large crête puis une forêt on attend le sommet du Baou de la Gaude et sa belle vue sur la mer.

On revient sur nos pas et on emprunte une courte descente en lacets. On remonte de l’autre côté du vallon de Parriau par une montée à nouveau raide et bien fréquentée. Un dédale de lapiaz nous emmène enfin au sommet du Baou de Saint Jeannet. La vue à 360° est superbe : devant nous la mer, derrière nous les sommets enneigés du Mercantour et des Préalpes d’Azur. Parfait pour le pique-nique. Des grimpeurs sortent des voies d’escalade, on les envie un peu.



On repart par un sentier dans la garrigue. Dès que l’on s’éloigne du sentier principal, l’atmosphère redevient beaucoup plus calme.

On fait le tour du joli vallon du Castelet. On remonte ensuite légèrement jusqu’à des ruines, et une belle vue sur les falaises du Baou de Saint Jeannet.


Il ne reste plus qu’à descendre par un sentier en lacets. La fatigue commence à se faire sentir, c’est ma première « vraie » rando depuis 1 an ; mon genou rafistolé commence à protester un peu, mais il a bien supporté les sentiers parfois un peu casse-pattes du jour. Une dernière traversée en balcon sous des grottes et des falaises d’escalade, et une dernière petite montée nous ramènent enfin au village.
C’était vraiment une jolie longue boucle, plutôt calme dès qu’on s’éloigne du sentier principal du Baou de St Jeannet.
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par *V* ~ Mardi 22 décembre 2020
Petit tour à vélo sur les hauteurs d’Albertville, pour éliminer d’avance les calories de Noël.
Sur les flancs des Bauges, le Mont Blanc apparaît rapidement.

De l’autre côté, les sommets du Beaufortain sont blanchis par la neige et les chemins bien boueux.

Les Bauges sont plus sèches.

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